Les survivantes. Stéphanie Cano, Valérie Nicolas (photo), Véronique Rolland-Pecqueux, Isabelle Wendling. Vous les connaissez, un peu. En décembre 1999, vous étiez forcément devant votre poste de télévision. C’était un dimanche soir, après Stade 2, à une heure d’antenne irrémédiablement squattée depuis par Michel Drucker. D’ailleurs ce soir-là, c’est une émission spéciale Lara Fabian qui a sauté.
Une chose est sûre, il s’agissait de vos premières images de handball féminin. Et ça s’annonçait terriblement télégénique. Il y avait de belles blondes en maillot rouge qui couraient partout. Et des grandes gigues en bleu, solides, qui ne rompaient pas et repoussaient à l’envi les attaques adverses. Stéphanie Cano, Valérie Nicolas, Véronique Rolland-Pecqueux, Isabelle Wendling, entre autres, s’accrochaient à l’espoir de battre, chez elles, à Lillehammer, la grande équipe de Norvège, en finale des championnats du monde.
Les handballeuses françaises se sont finalement inclinées (24-25). Au bout du suspense et de deux prolongations. Mais cet illustre échec a définitivement lancé la bande à Olivier Krumbholz, ce sélectionneur bougon mais si perspicace. Et en 2003, l’équipe de France devint championne du monde, en dominant la Hongrie (32-29, toujours après prolongation, toujours pour le spectacle). Avec toujours Stéphanie Cano, Valérie Nicolas, Véronique Rolland-Pecqueux, Isabelle Wendling en son sein.
Aujourd’hui, les quatre glorieuses, ultimes rescapées du périple norvégien, reviennent clore leur carrière internationale sur le sol français. Stéphanie Cano, l’ailière à l’accent girondin, devrait encore illuminer son côté droit. Valérie Nicolas, la gardienne d’Ikast (Danemark) va tenter de maintenir ses statistiques de folie. Et puis devant la zone, c’est presque l’embouteillage. Les comparses Véronique Pecqueux-Rolland et Isabelle Wendling (respectivement 35 et 36 ans) remettent le couvert, prêtes à imposer du défi physique.
Vivement dimanche…. 2 décembre.
Une chose est sûre, il s’agissait de vos premières images de handball féminin. Et ça s’annonçait terriblement télégénique. Il y avait de belles blondes en maillot rouge qui couraient partout. Et des grandes gigues en bleu, solides, qui ne rompaient pas et repoussaient à l’envi les attaques adverses. Stéphanie Cano, Valérie Nicolas, Véronique Rolland-Pecqueux, Isabelle Wendling, entre autres, s’accrochaient à l’espoir de battre, chez elles, à Lillehammer, la grande équipe de Norvège, en finale des championnats du monde.
Les handballeuses françaises se sont finalement inclinées (24-25). Au bout du suspense et de deux prolongations. Mais cet illustre échec a définitivement lancé la bande à Olivier Krumbholz, ce sélectionneur bougon mais si perspicace. Et en 2003, l’équipe de France devint championne du monde, en dominant la Hongrie (32-29, toujours après prolongation, toujours pour le spectacle). Avec toujours Stéphanie Cano, Valérie Nicolas, Véronique Rolland-Pecqueux, Isabelle Wendling en son sein.
Aujourd’hui, les quatre glorieuses, ultimes rescapées du périple norvégien, reviennent clore leur carrière internationale sur le sol français. Stéphanie Cano, l’ailière à l’accent girondin, devrait encore illuminer son côté droit. Valérie Nicolas, la gardienne d’Ikast (Danemark) va tenter de maintenir ses statistiques de folie. Et puis devant la zone, c’est presque l’embouteillage. Les comparses Véronique Pecqueux-Rolland et Isabelle Wendling (respectivement 35 et 36 ans) remettent le couvert, prêtes à imposer du défi physique.
Vivement dimanche…. 2 décembre.
Mathieu Grégoire